2025-04-27
HaiPress
La logique voudrait que l’autonomie d’une « watture » soit directement liée à la taille de sa batterie. Pourtant,même s’il s’agit du tout premier facteur,ce n’est pas le seul. La preuve,à capacité égale en kilowattheure (kWh),on trouve des écarts parfois importants entre modèles. Ils sont dus à différents critères : l’aérodynamique,la masse,les pneumatiques ou la gestion du système électrique. De plus,un mode « éco » peut contribuer à une consommation vertueuse,avec le support d’un guidage GPS et d’aides à la conduite intelligente pour une meilleure efficacité. Une planification de trajets bien pensée permet d’optimiser l’énergie au cours des longs voyages,en préparant la batterie aux recharges réalisées à la température optimale pour écourter l’opération. Enfin,l’intégration d’une pompe à chaleur permet d’abaisser la consommation en cas de températures extrêmes.
Si l’autonomie de chaque modèle est homologuée selon la norme WLTP,cette dernière est généralement bien optimiste. Elle sert surtout de mesure étalon pour classer les véhicules entre eux. Il est recommandé de prendre en compte les valeurs mixtes et non celles de consommations urbaines parfois mises en avant par les constructeurs,car elles sont plus positives,une voiture électrique consommant moins en ville,contrairement aux modèles thermiques. Dans chacune des catégories équipant les flottes d’entreprise,nous avons effectué une sélection de trois modèles parmi les plus endurants.
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